Avec cette crise sanitaire qui n'en finit pas, l'on n'entend que des chiffres générateurs de stress : nombre de décès, nombre de cas, nombre de réanimation, nombre de test.
Il faut bien se rendre compte que ces chiffres entretiennent une angoisse et une peur quasi permanente, engendrant une baisse des défenses du système immunitaire, donc plus de probabilité de tomber malade.
Mais cela, personne ne le dit et personne ne dit comment se prémunir de cet état de fragilité personnelle.
Pour en revenir aux chiffres, et pour être impartial et évaluer le rapport bénéfice-risque des mesures sanitaires prises, il faudrait aussi donner les chiffres des suicides, des consultations psychiatriques ou psychologiques, des ventes d'anti-dépresseurs.
Mais là-dessus, silence.
Un article du magazine l'Express* ayant pour titre « les problèmes psychiques explosent chez les jeunes » a retenu mon attention :
Les urgences pédiatriques parisiennes sont débordées.
La crise sanitaire a provoqué une poussée du mal-être chez beaucoup de jeunes : angoisses nocturnes, sommeil décalé, troubles somatiques, phobie scolaire, agitation, perte d'appétit, anorexie, menaces ou tentatives de suicides.
Le nombre de tentatives de suicide chez les moins de 15 ans a doublé ces derniers mois.
Cette situation est préoccupante car les traumas apparaissent plusieurs mois après l'arrivée des difficultés, elle pourrait donc encore s'aggraver.
Sans vouloir assurer que la kinésiologie est LA solution pour ce genre de problématique, elle peut s'avérer être une aide appréciable pour retrouver son équilibre, de la sérénité, de la confiance en soi et en l'avenir. Pensez-y et n'attendez pas que les choses s'aggravent.
* l'Express n° 3623 du 10 au 16 décembre 2020
