Ma belle-fille qui travaille dans le milieu étudiant, vient de me faire lire les résultats d'une étude sur la santé des étudiants, faite par l' « observatoire de la vie étudiante ».
Même si cet article de la revue « la voix de l'étudiant » date de 2015, je n'avais jusqu'à présent, pour ma part, pas entendu parler du taux de suicide aussi élevé chez les étudiants.
Or, il est tout de même de 16,2 pour 100 000 habitants alors que la moyenne est de 10,2 , faisant de la France un des pays européens les plus touchés. Je suis choquée !
Vous pouvez retrouver cet article ici : http://www.lavoixletudiant.com/actus/60248/le-suicide-chez-les-etudiants/
Le fait de se retrouver seul, éloigné de sa famille, croulant sous la charge de travail, stressé par les examens, révèle des malaises ou des fragilités psychologiques qui aboutissent au stress, à la déprime, au sentiment d'isolement qui, dans les cas les plus graves peuvent aboutir au passage à l'acte. La consommation régulière d'alcool est également un signe inquiétant. Les filles sont plus touchées que les garçons.
Si des structures d'accompagnement sont à la disposition des étudiants, la kinésiologie peut, elle aussi, apporter son aide à ce genre de situation.
Ce mal-être révélé par une situation inhabituelle, déstabilise l'individu, le déséquilibre.
En remettant en route ses énergies qui le bloquent, la kinésiologie va aider l'individu à utiliser ses ressources pour faire face à la nouvelle situation, éliminant les schémas négatifs.
Elle est capable d'enlever les freins existants pour améliorer le relationnel, aider à gérer son stress, améliorer sa concentration ou sa mémorisation.
Alors, pendant que l'emploi du temps est moins chargé par les études, c'est le moment de s'occuper de soi pour préparer la rentrée de façon plus sereine, et de faire au moins une séance de kinésiologie.
Si vous hésitez, n'oubliez pas que les chemins du plus tard conduisent au pays du jamais (proverbe irlandais paraît-il!)
